Pierre Pontard, évêque constitutionnel sous la Révolution

Le 23 janvier 1832, s’éteignait en l’hospice Sainte-Périne de Chaillot, un pauvre « ventre-creux ». Peu d’histoires sont plus édifiantes que la sienne. Peu aussi, le sont moins… Il entra dans les ordres, devint curé de Sarlat, adopta les principes de la Révolution, adhéra à la constitution civile du clergé, et fut nommé évêque constitutionnel de la Dordogne. Peu de temps après, il fut élu député de la Dordogne à l’Assemblée législative. Il épousa une sans-culotte et fit la promotion du mariage des prêtres et du divorce. Voici son parcours… (1)

Pierre Pontard, cinquième fils d’un père notaire, Guy Pontard, naquit à Mussidan, en 1749. Il fit ses études au collège ecclésiastique de sa ville natale et au grand séminaire de Périgueux. Il obtient le grade de docteur en théologie, reçut l’ordination sacerdotale et débuta, à l’âge de vingt-sept ans, comme vicaire à Bergerac. De belle prestance, d’un abord aimable, orateur de talent, il acquit rapidement une telle renommée que, en 1781, l’évêque de Sarlat pria celui de Périgueux de lui céder le jeune clerc. C’était pour en faire le recteur de Sainte-Marie, l’église paroissiale de la cité épiscopale. Nul curé ne fut plus estimé de son évêque, nul ne s’entendit mieux avec les chanoines de la cathédrale. Peut-être serait-il devenu, lui aussi, l’un des membres du chapitre, peut-être aurait-il, jusqu’à sa mort, coulé des heures heureuses, si…

1789. La Révolution à Sarlat, comme ailleurs. Pierre Pontard n’a pas réussi, en dépit d’une cabale bien montée, à se faire élire député du clergé aux États-Généraux. Ses confrères lui ont préféré le curé de Daglan, Guillaume Delfau. Du moins, les électeurs de Sarlat l’envoient-ils siéger à l’Hôtel de Ville, en même temps que son évêque devient maire (mars 1790). Mais, tandis que Mgr d’Albaret, refusant d’accepter les lois nouvelles, reprend bien vite sa liberté, Pontard, acquis déjà à la Révolution, désireux plus que jamais de jouer un rôle à la hauteur de son ambition, les accepte toutes et en bloc. Le 20 février 1791, il adhère solennellement à la Constitution civile du clergé. Le 30 mars suivant, soutenu par le curé de Doissat, Jean-Baptiste Sirey – qui avait également prêté serment à la Constitution civile du clergé –, il est élu évêque constitutionnel de Dordogne. (1)

À propos de la Constitution civile du clergé…

Pour rappel, la Constitution civile du clergé est un décret adopté en France par l’Assemblée nationale constituante, le 12 juillet 1790. Elle abroge le concordat conclu en 1516 entre le roi François 1er et les représentants du pape, sans en référer à ce dernier. Sanctionnée contre son gré par Louis XVI, elle devient la loi des 12 juillet et 24 août 1790. Elle réorganise unilatéralement le clergé séculier français, institue une nouvelle Église, l’Église constitutionnelle. L’État s’engage à appointer les évêques et les curés qui deviennent ainsi de simples fonctionnaires. Plus ennuyeux, les évêques et les curés doivent être désignés par les électeurs de leur paroisse ou de leur diocèse, qu’ils soient croyants ou athées. Ces changements provoquent la division du clergé en clergé constitutionnel et clergé réfractaire. Les membres du clergé ayant prêté serment étaient appelés « jureurs » ou « assermentés », par opposition aux « insermentés », « non-jureurs » ou « réfractaires ». Cette Église sera condamnée par le pape Pie VI le 10 mars 1791, déclarée « hérétique et schismatique » le 13 avril 1791, et abrogée par le Concordat de 1801(2)

Pierre Pontard, évêque constitutionnel de la Dordogne

À cet évêque, il ne faut que quatre jours pour se faire sacrer et qu’une semaine de plus pour prendre possession de son siège. De son siège, mais non de son diocèse. Les deux ci-devant évêques de Périgueux et de Sarlat dénoncent son intrusion et interdisent au clergé de lui obéir. Pontard réussit bien à rassembler douze prêtres pour constituer son conseil ; il trouve même un local pour y installer son séminaire. Mais où aller chercher des professeurs et des élèves ? D’ailleurs, quand il tient deux ou trois jeunes clercs, il les ordonne en toute hâte, de peur de les voir partir. Cogniet, le futur curé de Belvès, reçoit de ses mains la prêtrise à seize ans ! En fait, son autorité est nulle. La réorganisation territoriale des paroisses, le serment civique des curés, autant de questions qu’il ne peut arriver à résoudre. Les quelques prêtres qui lui obéissent sont méprisés des fidèles : sa cathédrale est déserte quand il prétend y officier. Il entreprend une tournée épiscopale : c’est pour trouver fermées les portes des presbytères et pour susciter, à Sarlat, chez les sœurs de Sainte-Claire, un violent incident qui, finalement, tourne à la confusion. C’en est trop. Potard décide d’abandonner à leur sort les réactionnaires du Périgord. Précisément, l’Assemblée Constituante a décidé de se séparer. Il brigue un siège à la Législative. (1)

Pierre Pontard, député de la Dordogne

Le 8 septembre suivant, il est élu député de la Dordogne à l’Assemblée législative, très facilement (le premier sur dix), « à la pluralité des voix ». Son mandat couvre la période allant de 8 septembre 1791 au 20 septembre 1792. Fervent défenseur de la constitution civile du clergé, il opina constamment avec la majorité, parla en faveur du divorce, soutiendra plusieurs mesures en faveur du mariage des prêtres, se maria et présenta sa femme dans la séance du 22 septembre 1793, à la Convention nationale. Il demanda à la Convention de décréter que « les mariages des prêtres seraient sous la sauvegarde spéciale de la nation ». Lors de cette séance, le président donna à la citoyenne Pontard l’accolade fraternelle, au milieu des applaudissements, et Julien de la Drôme alla jusqu’à proposer, pour encourager les prêtres à suivre « le sublime exemple de l’évêque de la Dordogne », que tous les évêques qui se marieraient auraient 2 000 livres de plus que les 6 000 livres auxquelles leur pension avait été fixé.

Mais quel démon habite dans ce curieux homme ? À Périgueux, évêque, il s’occupait surtout de politique. À Paris, député, les séances de la Législative l’ennuient : il n’y va pas. Il passe son temps sans les salons où l’on pratique l’occultisme. Proche des milieux ésotériques de l’époque, il fréquente la duchesse de Bourbon Bathilde d’Orléans (1750-1822) (3), Catherine Théot (1716-1794) (4) et aussi Dom Gerle (1736-1801) (5), un collègue, député de l’Assemblée Constituante. Il sera lié à quelques scandales. Un autre de ses collègues, le fameux Henri Grégoire (1750-1831) (6), bien peu exigeant cependant en matière d’orthodoxie, le compare à Luther, tandis que d’autres évêques constitutionnels de l’Assemblée le dénoncent comme « le plus dangereux des novateurs ». Par ailleurs, il vient de se faire le barnum d’une prophétesse originaire, comme lui, du Périgord (près de Ribérac) : Clotilde-Suzanne Courcelle-Labrousse, dite Suzanne Labrousse ou Suzette Labrousse. Qui était-elle ?

Suzanne Courcelle de Labrousse

Issue d’un milieu aisé, de bourgeoisie de robe, Suzanne est éduquée chez les Ursulines de Périgueux. Baignée de mysticisme, et se croyant « destinée à devenir une prophétesse », elle s’enfuit de la demeure paternelle où elle sera vite ramenée. Avant même que celle-ci n’éclate, Suzette Courcelle de Labrousse aurait annoncé la Révolution française, ainsi que la chute de la noblesse et du clergé. Elle aurait également prophétisé que « l’église allait sortir de l’esclavage, et redevenir aussi florissante que dans les premiers siècles, » précisant qu’elle devait être préalablement « purifiée par un bain de sang. »

Emmenée à Paris par Pierre Pontard en 1790 ou 1791, elle épouse ses causes. Elle est accueillie par une princesse du sang, Louise-Marie-Thérèse-Bathilde d’Orléans, Duchesse de Bourbon, où elle commence à prophétiser contre la Papauté et en faveur de la constitution civile du clergé. Elle saluait en Robespierre le Messie de la Révolution. Son ignorance et son orgueil la marginalisent dans la haute société, mais elle donne des consultations de voyance, très courues du tout Paris, dans les salons occultistes de l’Elysée-Bourbon, chez la duchesse de Bourbon. Cette dernière est connue en Europe pour sa liberté de pensée – elle s’adonne au mysticisme des chiromanciennes, astrologues, interprètes de songes et magnétiseurs – et les esprits brillants qu’elle fréquente.

En 1790, Pierre Pontard publiera Recueil de prophéties concernant la Révolution française, suivies d’une prédication qui annonce la fin du monde. Entre 1792 et 1793, il publiera hebdomadairement – aux frais de la duchesse de Bourbon – un Journal prophétique où les prédictions de Suzette Courcelle de Labrousse se trouveraient confirmées par celles de jansénistes. Selon elle, l’Apocalypse de saint Jean contiendrait les preuves que la Révolution française initie une régénération universelle. Pontard l’exhibe dans les boudoirs de duchesses maçonnisantes ; il donne de ses Énigmes une édition annotée affirmant bien haut que ce livre vaut toutes les théologies et toutes les morales. – Consultez deux numéros du Journal prophétique sur le site de la BNF, 8-LC2-654.

Éclipsée dans les salons occultistes par Catherine Théo – une autre mystique et visionnaire française, prophétesse autoproclamée qui était persuadée d’être la Mère de Dieu –, elle rentre quelque temps dans le Périgord. Toujours soutenue par Pierre Pontard, elle décide de revenir en 1792 pour porter à Rome les principes de liberté et d’égalité, ainsi que le principe de Constitution civile du clergé. La prophétesse compte même proposer au Pape l’abdication. Prêchant en utilisant la rhétorique jacobine, elle est mal reçue en Italie. Chassée de Bologne par le légat, elle est finalement arrêtée à Viterbe et emmenée au château Saint-Ange. Elle est condamnée à la réclusion perpétuelle. Elle sera libérée lorsque les troupes françaises prennent Rome, le 11 février 1798, lors de la Campagne d’Italie.

C’est lui sans doute, qui la pousse à aller à Rome, où elle tâchera d’amener le pape à ses vues. Partie en février 1792, elle prêche sur son chemin dans toutes les villes, comme à Lyon ou Marseille, en utilisant la rhétorique jacobine. Elle est mal reçue en Italie. Chassée de Bologne par le légat, elle est finalement arrêtée à Viterbe, condamnée à la réclusion perpétuelle et enfermée au château Saint-Ange. Mais elle sera libérée lorsque les troupes françaises prennent Rome, le 11 février 1798, lors de la Campagne d’Italie. Elle revient alors à Paris.

Ayant hérité d’une certaine fortune, elle permit à Pierre Pontard de subsister et en fit son exécuteur testamentaire, lui léguant 3 000 francs, testament immédiatement attaqué par sa famille. Elle mourut le 28 février 1821, à l’âge d’environ 73 ans, entourée d’un cercle de fidèles, se croyant toujours inspirée par Dieu. Mais nous n’en sommes pas là… (7)

Pierre Pontard, la chute

Pontard n’est pas réélu à la Convention. Il regagne donc son diocèse, avec sa femme, Sophie Portier, prise « dans la classe des sans-culottes ». Il s’installe à Périgueux, dans le couvent des Dames de la Foi. De cette femme, nous savons qu’elle l’assiste au grand autel de Saint-Front lorsqu’il officie, pique en main et bonnet phrygien en tête, et qu’elle meurt en donnant le jour à un fils, Jean. Enfin, suivant sa pente naturelle, Pontard renonce à l’épiscopat et à la prêtrise le 26 Brumaire an II. Il a quarante-cinq ans et c’est un homme fini. Il collabora avec Pigault-Lebrun (1753-1835), romancier et dramaturge français, pour plusieurs de ses ouvrages.

Désormais, il va tomber toujours plus bas. Nommé directeur de l’hôpital général de Périgueux le 1er avril 1794, il se voit forcé de démissionner l’année suivante. Paris, peut-être, lui sera-t-il plus favorable ? Il tente vainement d’y fonder un collège, mais il dut abandonner l’idée, faute de financements. En 1812, il écrit une Grammaire mécanique élémentaire de l’orthographe française, puis de lamentables romans, mais ne trouve point de lecteurs. Et il perd son fils, un jeune homme de vingt ans. La Restauration fait de lui un receveur d’octroi, puis le révoque. Et le voici de nouveau à Périgueux : on l’aperçoit poussant vers l’Isle la brouette chargée de la lessive que vient de faire Jeanne Mathieu, sa seconde femme. C’est enfin un vieillard qui mendie dans les rues de Paris. Une âme charitable à qui il avait rendu quelques services durant la Révolution, la Duchesse douairière Bathilde d’Orléans, lui offrit une pension viagère à Sainte-Périne, où il passa la fin de ses jours. Il mourut le 23 janvier 1832.

Il est, pourtant, une belle page dans la vie de cet homme. Un jour, à Paris, son ancien évêque, Mgr d’Albert, poursuivi par les gens du Tribunal Révolutionnaire, vient frapper à sa porte. Pontard le cache, puis favorise sa fuite. Ce jour-là, la reconnaissance et l’amitié l’ont entraîné à braver l’échafaud. (1)

Qu’est-ce qu’un évêque constitutionnel ?

En France, un évêque constitutionnel est un évêque membre de l’Église constitutionnelle entre 1790 et 1801, et ayant à ce titre prêté l’un des serments exigés. Le plus souvent, il est titulaire d’un des diocèses créés par la Constitution civile du clergé. Dans quelques rares cas, il est évêque coadjuteur ou évêque auxiliaire, ou joue un simple rôle dans les sacres épiscopaux.

L’évêque constitutionnel issu du clergé catholique français sous l’Ancien Régime, est considéré comme schismatique par le Saint-Siège en tant que membre de l’Église constitutionnelle. Il n’est pas successeur des anciens évêques du même lieu, ni prédécesseur des évêques concordataires. Il est appelé « intrus » par le clergé et les chrétiens restés fidèles aux anciens évêques nommés et institués selon les règles canoniques.

Les évêques constitutionnels sont souvent des prêtres ayant des idées gallicanes (8) et partisans, plus ou moins modérés, de la Révolution française dans sa première phase. Ils sont élus par le même corps électoral que les députés de la future Assemblée législative, l’avis du pape n’étant plus sollicité pour ces nominations. L’intitulé de leur évêché n’est pas « évêque de… » suivi du nom de la ville épiscopale (par exemple, « évêque de Périgueux »), comme auparavant, mais ils portent le nom du département où se situe leur siège épiscopal (selon le même exemple, « évêque de Dordogne »), à la suite de la création des diocèses dont le territoire correspond au territoire des départements créés en 1790.

Les évêques constitutionnels ont organisé à Paris du 15 août au 12 novembre 1797 et du 29 juin au 18 août 1801 des conciles nationaux, afin de marquer leur indépendance vis-à-vis du pape. Lors de la signature du concordat de 1801, le pape Pie VII et Napoléon Bonaparte demandèrent aux évêques constitutionnels comme aux évêques d’Ancien Régime restés réfractaires à la constitution civile du clergé de démissionner de leurs sièges épiscopaux, afin de procéder à de nouvelles nominations. Sur 94 évêques d’Ancien Régime, 36 refusèrent leur démission forcée : ce fut l’origine du schisme de la Petite Église (9). Les 50 évêques constitutionnels en poste acceptèrent finalement de démissionner, mais plusieurs refusèrent de signer des formules de rétractation, parmi eux, Henri Grégoire, évêque de Loir-et-Cher. Après leur démission, 18 évêques de l’Ancien Régime et 12 évêques constitutionnels furent nommés évêques « concordataires », c’est-à-dire pleinement catholiques, en communion de foi et de juridiction avec le Pape, et nommés par le Premier Consul. (10)


Notes :

  • (1) Choses et Gens du Périgord, Jean Maubourguet, publié par la Librairie Floury, Paris, 14 rue de l’Université, 1941. Le texte de Jean Maubourguet a largement inspiré cet article qui en reprend quelques extraits.
  • (2) Page Wikipedia consacrée à la Constitution civile du clergé.
  •  (3) Page Wikipedia consacrée à Louise Marie Thérèse Bathilde d’Orléans, duchesse de Bourbon, fille de Louis-Philippe d’Orléans et épouse du duc de Bourbon. Elle était passionnée par la spiritualité, les oracles et la magnétisme.
  •  (4) Page Wikipedia consacrée à Catherine Théot, une mystique et visionnaire française, prophétesse autoproclamée de la fin de l’Ancien Régime et de l’époque de la Révolution française. L’ « Affaire Théot » contribua, en partie, à la chute de Robespierre.
  •  (5) Page Wikipedia consacrée à Antoine Christophe Gerle, dit Dom Gerle, un religieux français de l’ordre des Chartreux, député de l’Assemblée Constituante, lors de la Révolution française.
  •  (6) Page Wikipedia consacrée à Henri Grégoire, évêque constitutionnel et homme politique, l’une des principales figures emblématiques de la Révolution française.
  •  (7) Page Wikipedia consacrée à Clotilde-Suzanne Courcelles de Labrousse, prophétesse auto-proclamée, proche des Jacobins. Elle aurait fait des prophéties sur l’avenir de la Révolution française.
  •  (8) Le gallicanisme (du latin Gallia, Gaule) a désigné en France, sous la monarchie et l’Ancien Régime, le courant politique visant à séparer le plus complètement les affaires religieuses des affaires politiques tout en cherchant à organiser l’Église catholique de façon autonome par rapport au pape. L’ultramontanisme (du latin ultra, au-delà et montis, montagne) désigne ce qui est au-delà des monts alpins par rapport à la France, autrement dit Rome ! Ses partisans, les ultramontains, considèrent que le pape a la prédominance sur les conciles nationaux pour tout ce qui concerne l’Église catholique (dogme et administration).
    Il ne faut pas confondre le gallicanisme avec le principe de séparation des Églises et de l’État (1905) qui supprime tous liens entre l’Église de France et l’État : selon les gallicans, il revient à l’État de prendre en charge l’organisation de la religion tandis que le principe de séparation implique de l’État qu’il ne s’occupe plus d’affaires religieuses.
  •  (9) Ce terme générique désigne l’ensemble des groupes qui de 1801 à nos jours ont refusé le Concordat signé entre le Premier consul Bonaparte et le pape Pie VII. Le culte suit le calendrier religieux de l’Ancien Régime et les anciennes observances (surtout en ce qui concerne la discipline du jeûne). De nos jours, seules quatre communautés subsistent qui rassemblent environ 4 000 fidèles. Consultez la page Wikipedia consacrée à la Petite Église.
  •  (10) Page Wikipedia consacrée aux Évêques constitutionnels.

Crédit Photos :

  • Constitution civile du clergé caricature 1790, via Wikimedia Commons.
  • Assiette prêtre jureur, by Raminagrobis (own work), via Wikimedia Commons.

REMARQUE : Si un extrait du présent article posait problème à son auteur, nous lui demandons de nous contacter et cet article sera modifé dans les plus brefs délais.

2 Commentaires

  • Spierckel dit :

    Merci de m’ajouer à votre liste…

    • J.F. Tronel dit :

      Bonjour Monsieur Spierckel,
      Tout d’abord merci pour l’intérêt porté à mon travail…
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