Aux portes du Pays des Bastides et du Sarladais, le village de Couze et Saint-Front, accroché à sa colline, offre aux visiteurs des atouts d’exception. Le château du Mont d’Onel domine forêt et village, offrant une vue imprenable sur les vallées de la Couze et de la Dordogne. C’est dans ce lieu chargé d’histoire, au charme discret, que Carl Wakely, Tiffany son épouse, William et Diane ses parents ont choisi d’ouvrir gîtes et chambres d’hôtes.
Emblématique et historique, le village de Couze et St-Front
Riche d’un passé de cité papetière, quatre moulins témoignent aujourd’hui encore de la forte activité industrielle d’antan. La présence de la rivière, le charme des jardins en terrasses, les sentiers de randonnées et la qualité des services en font un lieu de villégiature privilégié.
À proximité des célèbres bastides de Beaumont du Périgord et de Monpazier, des hauts-lieux du patrimoine, tels Saint-Avit Sénieur et son abbaye du XIe siècle inscrite sur la Liste du Patrimoine Mondial par l’Unesco, Cadouin et son abbaye cistercienne, Couze bénéficie d’un emplacement de choix au carrefour du Sarladais, du Bergeracois et du Pays des Bastides. La proximité de l’aéroport de Bergerac-Roumanière (15 km) et du réseau SNCF (2 km) en font un lieu des plus accessibles. Rejoindre Bordeaux, Paris, Sarlat, Périgueux, voire l’international n’est plus un problème.
Les vignobles de Pécharmant, Bergerac et Monbazillac font le bonheur des amateurs de bons vins. La vallée de la Dordogne et sa farandole de châteaux, de Beynac aux Milandes en passant par Castelnaud a acquis une notoriété internationale. La grandeur et l’élégance des parcs et jardins tels Marqueyssac ou le plus pédagogique site de Limeuil invitent à leur découverte.
Côté gastronomie, Couze et ses environs comptent de nombreuses bonnes adresses dont la réputation n’est plus à faire. De la cuisine bistrot à celle de chefs étoilés, il y en a pour tous les goûts !
Les chambres d’hôtes du Mont d’Onel…
L’Éden en mode campagne
Le Mont d’Onel abrite cinq chambres dont une suite familiale, toutes agencées avec goût et raffinement. Cette demeure de prestige idéalement située au cœur de la forêt surplombe le village, offrant une vue imprenable sur les vallées de la Couze et de la Dordogne. Toutes en subtilité et douceur, les chambres déclinent une palette de camaïeux en gris et blanc propices au repos. Les deux vastes salons jouent la carte de la sérénité, pour des moments de farniente, dans un cadre cosy où l’on retrouve la signature des hôtes du lieu. De l’étage au rez-de-chaussée, pas une fausse note, tout est harmonie.
Les gîtes
D’anciennes dépendances aux murs de pierres se sont offertes une seconde jeunesse grâce à une restauration faite dans les règles de l’art. Transformées en gîtes de grand standing, leur équipement étudié favorise le confort du séjour (lave-linge, sèche-linge, écran TV à fond plat, Wifi gratuit, pour ce qui est de l’intérieur). Côté loisirs, une vaste piscine chauffée et abritée, un court de tennis et des vélos sont mis à disposition gracieusement par les propriétaires. Les espaces paysagés permettent de belles balades en pleine nature…
Le Mont d’Onel respire le bon goût et l’art de vivre. Tiffany et Carl ont su créer dans ce lieu de prestige un cadre à la française, « so british », digne des plus grands, dans une ambiance familiale et conviviale.
Le mot de l’actuel propriétaire – « Grâce aux travaux de rénovation entrepris au Mont d’Onel, nous espérons avoir créé un beau lieu ressenti comme une maison par nos clients. Le but est de créer la bonne harmonie entre le confort d’un hôtel haut de gamme, mais avec une touche personnelle, plus conviviale. Personnellement, j’ai toujours adoré la Dordogne, sa nourriture, son vin, son histoire. Quand nous avons décidé de quitter le Pays de Galles pour venir en France, notre famille savait que ce serait la Dordogne. J’ai rencontré Tiffany, ma femme américaine, à l’université où nous étudions l’histoire. Donc pour nous, c’est un privilège de vivre dans une si belle région, et un rêve devenu réalité d’habiter dans un bâtiment historique comme le Mont d’Onel. Nous souhaitons vraiment faire partie de la communauté, et j’espère qu’en amenant les visiteurs dans ce coin étonnant de France, Couze et ses environs tireront bénéfice de notre projet. » – Carl Wakely
Françoise Cheyrou — PUBLI-REPORTAGE
Le Mont d’Onel
L’origine du nom viendrait de la transcription orale d’un latin « tout-venant » modifié émanant du terme « onel » (œil). Le mont d’Onel serait donc un lieu où l’on embrasse d’un seul regard la vallée de la Couze et celle de la Dordogne (sources A. Noualhat).
C’est probablement au milieu du XVIe siècle, vers 1560, que les héritiers des seigneurs de Lanquais, descendant des Lacropte, construisirent le château. Il hébergea bon nombre de propriétaires. En 1709 les De Pourquery, suivis en 1778 par les De la Palisse. La famille Pigeon de la Geneste puis les Bosseront d’Anglade s’y établiront ensuite. En 1905, Louis Rocher effectuera une surélévation dotant le bâtiment de sa tour carrée. La cheminée porte, du reste, l’initiale de son propriétaire : la lettre R. En 1918, Pierre Elie Giraudel Marcille occupera le château jusqu’en 1924, date à laquelle Joseph Paul Honoré en prendra possession. Pendant la guerre 39/45, il appartient à Georges Bertaut-Couture. Le 25 juin, après avoir démissionné de ses fonctions de président de la délégation spéciale, son propriétaire se réfugiera à Arcachon pour échapper aux rigueurs de l’Épuration, abandonnant provisoirement les lieux au PC du maquis FTPF « Sam Jaurès ». Joseph Saint-Martin acquiert le château en 1951, et son fils Michel le cèdera à la famille Janssens en 1995.
Aujourd’hui, c’est Carl Wakely et sa famille qui redonnent un souffle nouveau à ce lieu nourri de Secrets d’histoire.